vendredi 10 janvier 2025

HEUREUSEMENT QU’ON A L’OM…

 Regardons la réalité en face.


Les cyniques, les incompétents, les incapables qui nous dirigent préparent en douce une 3ᵉ guerre mondiale, mijotée comme un plat toxique, pour masquer l’effondrement économique, écologique et moral d’un capitalisme à bout de souffle.

Le cirque médiatique ? Une farce sinistre qui réduit au silence toute voix osant exprimer une once de compassion pour le peuple palestinien.

Le climat ? Hors de contrôle, enchaînant les catastrophes à une cadence infernale.

Le football français ? Dévoré par le Qatar, qui transforme notre passion en business gazier.

Je pourrais continuer des pages entières, mais inutile de s’enfoncer davantage dans cette mélasse puante.


Heureusement, dans ce chaos, une lumière brille. L’OM


Oui, l’OM, ce rempart contre la morosité d’un monde en perdition. Ce projet De Zerbi, porté par le duo Longoria-Benatia, redonne espoir. On voit le boulot, la patte du coach, l’adhésion des joueurs. L’exigence commence à payer : du jeu, de l’efficacité, des résultats.


Et ce mercato d’hiver ? Bam, Luis Felipe Ramos débarque en express, preuve que ça bosse dans le Board. Le message est clair : on ne dort pas, on renforce, on vise haut. Si l’OM continue d’être impérial à l’extérieur et retrouve sa grinta au Vélodrome, la qualif’ pour la Ligue des Champions sera dans la poche.


Mais Marseille, c’est Marseille. Quand on commence à rêver, on sait qu’il faut garder un œil ouvert. Les deux prochains tests s’annoncent cruciaux : une victoire à Rennes, toujours en galère malgré Sampaoli, puis la voie vers la reconquête de la Coupe de France face aux Dogues de Lille. On peut le faire. Ou pas.


Ô l’OM, garde-nous encore ta belle lumière.


Je présente mes meilleurs vœux à tous. Certes, nous sommes quelques-uns à ne rien attendre de cette année 2025 mais chacun peut espérer de bonnes surprises.


Vive le grand Roger Magnusson !

Thierry B. Audibert