vendredi 9 février 2024

TOUJOURS AUSSI MÉDIOCRES !

 Ne nous cachons pas la vérité. Je serai bref. Ne perdons pas notre temps à ressasser l’arbitrage ou les maladresses ounahiennes.


Ce soir, nous avons encore vu une équipe marseillaise en errance malgré une belle débauche d’énergie. Ce que notre équipe paye ce soir ce sont des semaines de médiocrité qui se sont enchaînées inexorablement au point que la réussite t’abandonne.


On pourra toujours dire que si les olympiens avaient marqué sur leur première occasion, ils se seraient rendu les choses plus faciles. Que l’expulsion de Gigot est peut-être sévère parce qu’il n’était pas tout à fait en situation de dernier défenseur, mais elle n’est pas totalement illogique.


Cela dit, nous ne sommes pas sûrs que nous aurions fait mieux à 11.

Et pourquoi, c’est Harit qui sort ? Va chercher à comprendre.


La facilité avec laquelle Metz égalise alors que l’OM avait pris les devants.


Cet Olympique de Marseille n’a pas assez travaillé ses schémas de jeu. Il ne connaît pas le mot . Il est largué, à la remorque. Rien n’a été répété, les circuits préférentiels sont illisibles, le jeu est à l’emporte-pièce. Je ne veux pas revenir sur ce qui relève des incompétences de Gattuso, j’aurais trop l’impression de me répéter.


La seule chose que je sais c’est que le résultat n’étonnera personne et qu’on ne peut rien y faire. Gattuso, s’il avait un peu de fierté partirait de lui-même mais il ne fera pas.


La saison est plus que terminée. Dommage pour Moumbagna qui fait des débuts encourageants.


Vive le grand Roger Magnusson !

Thierry B. Audibert

jeudi 8 février 2024

LE SYNDROME DE LA TABLE APÉRITIF…

 Ça y est !

Cette fois, c’est bon. Ma parole. Fini les hésitations, les atermoiements, les turpitudes.

L’OM a fait la grande réunion où on s’est dit enfin les choses.


Les supporters qui se sont prêtés à cette mascarade, que dis-je, cette grande couillonnade, auront eu le privilège d’expliquer aux joueurs à quel point le club était important pour ceux des virages qui se saignent les finances pour les voir. Ils savaient pas, les joueurs peuchère. Ils croyaient que nous on venait au stade parce qu’on s’emmerde à la maison.


Et puis Gattuso, cet escroc a expliqué en conf’ qu’à partir de maintenant il ne rigolait plus. Il va sévir. Que trop c’est trop, que c’est terminé d’être gentil. Stop !


Ça me rappelle une famille d’amis, quand j’étais plus jeune, dans laquelle aller prendre l’apéro tournait chaque fois au cauchemar. Les enfants étaient d’abord priés de se tenir loin de la table basse sur laquelle les verres, les bouteilles et les amuse-gueule reposaient.


Dans un premier temps, les minots se tenaient à carreaux, puis ils s’approchaient lentement de nous, comme des petits chats mignons dans leurs pyjamas, s’enhardissaient en chipant malicieusement des gâteaux apéritifs. Et puis très vite, l’un d’entre eux commettait presqu’ouvertement une connerie, et c’était le début de la tragi-comédie.


Les parents criaient en jurant qu’il y aurait des morts, que tout ce petit monde allait vite retrouver sa chambre. Ça gueulait dans tous les sens, les petits chougnaient, s’éloignaient un bref temps puis ça recommençait. C’était n’importe quoi et l’OM maintenant c’est pareil, c’est le syndrome de la table apéritif.


Ils nous prennent vraiment pour des bites.

Tu le devines chère lectrice, cher lecteur, que je reste totalement insensible à ce nouvel OM dont il nous est annoncé la venue dès ce soir. Même contre les derniers, comme ce sera le cas de Metz ce soir, nous sommes capables de perdre. Gattuso est un vié pané qui s’abrite derrière un prétendu manque de mentalité des joueurs. Qu’il aille s’escoundre.


Vive le grand Roger Magnusson.

Thierry B. Audibert 

dimanche 4 février 2024

ÉQUIPE OLYMPIENNE FRELATÉE !

 Bon, soyons clair et concis !


Pas de surprise, l’Olympique de Marseille que nous avons vu ce soir est dans la droite ligne de ce que nous avons observé depuis le début de la saison.


Cette équipe ne sait pas se faire mal. Elle n’a aucune inspiration dans les zones d’attaque. Nous n’avons même pas su inquiéter les lyonnais mis à part la frappe qui s’écrase sur la transversale en début de rencontre. Nous n’avons quasiment pas tiré, ce qui est un scandale. Changements de rythmes, nous en sommes incapables. Faire un pressing haut et étouffer l’adversaire, nous ne savons pas le faire. Nous jouons sur un rythme de sénateur, nous sommes suffisants, nous sommes perdus sur le terrain car cette équipe ne travaille pas assez.


Je reviens encore une fois sur le dos de ce pauvre Gattuso qui n’y croit plus lui-même. Reste à savoir s’il n’est pas temps de le sortir de là car la production de ses hommes est bien trop insuffisante, une nouvelle fois. Quand on a aucune idée fondamentale de jeu on laisse les joueurs livrés à eux-mêmes. S’il a encore un peu de dignité il doit se dépêcher de laisser la place à quelqu’un qui saurait proposer des choses simples et efficaces.


J’arrête là. Je me suis traîné toute la journée avec 39-40 de fièvre, j’ai pas envie de me faire une entorse au cerveau en plus du sévère passage allergique que je traverse.


Pour moi, nous n’avons plus rien à espérer tant que les dirigeants ne prendront pas des décisions radicales.


J’écrivais ce matin que cet OM a un goût de bouchon. C’est pire. Cette équipe est frelatée. La saison est terminée. Ne me faites pas rigoler avec l’Europa League.


Vive le grand Roger Magnusson !

Thierry B. Audibert